vendredi 25 décembre 2015

Meilleurs voeux 2016 et amour

N'oubliez pas de remercier votre Etre le plus profond, VOUS !

Et n'oubliez pas que les pensées sont créatives.....

Je vous embrasse et merci !


vendredi 18 décembre 2015

S'aimer pour de vrai de Charlie Chaplin


Charlie Chaplin est surtout connu comme un acteur mime dans les films muets, mais on ne le connaît pas pour son côté artistique plus sensible. 
Lors de son 70e anniversaire le 16 avril 1959, il a écrit un poème sur l’amour-propre. 
C’est un poème exceptionnel comme il en existe peu. 

Le voici : 
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. 
Et, alors, j’ai pu me relaxer. 
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Estime de soi ! 
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. 
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Authenticité ! 
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. 
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Maturité ! 
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment. 
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Respect !
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. 
Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme. 
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Amour Propre !


 

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grand plans, j’ai abandonné les méga – projets du futur. 
Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plaît et à mon rythme. 
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Simplicité ! 
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. 
Aujourd’hui, j’ai découvert l’Humilité ! 
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. 
Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. 
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle Plénitude ! 
Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir, mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient un allié très précieux. 
 

Tout ceci est Savoir Vivre ! 

mardi 15 décembre 2015

les problèmes et les soucis de la vie sont comme ce verre d’eau.

Un jour, un professeur de chimie a décidé d’enseigner à ses élèves une leçon différente de celles qu’il avait l’habitude de donner.


Tenant un verre d’eau à la main, il a demandé aux élèves:
« Selon vous, combien peut bien peser ce verre d’eau ? »

« 500 grammes ! » s’exclama une voix au fond de la classe.
« 600 ! » a déclaré un autre étudiant.

« Je ne le sais pas vraiment. » répliqua le professeur, le verre dans sa main bien en évidence pour s’assurer que tout le monde pouvait le voir.
« Si nous ne le pesons pas, nous ne le saurons pas. Peu importe le poids, ce qui compte, c’est de savoir que ce n’est pas bien lourd. »

Avec le verre toujours dans sa main, le bras tendu, le professeur poursuivi :
« Qu’est-ce qui se passera si je le tiens comme ça pendant quelques minutes ? »

« Rien ! » rétorqua une étudiante.
« Bon, et si je le tiens pendant une heure comme ça, ce qui pourrait arriver ? »
« Votre bras va commencer à faire mal », a déclaré un autre étudiant.
« En effet. Et que se passerait-il si je tenais le verre dans ma main comme ça pendant une heure, quatre heures, une journée entière ? »
« Vous risquez d’avoir de plus en plus mal ! », scanda une étudiante.
« Votre main va s’engourdir », dit un autre.
« Votre bras risque de se paralyser et on devra vous amener à l’hôpital ! » cria un jeune du fond de la classe.
« C’est vrai » dit le professeur.

« Mais notez que, pendant tout ce temps, le poids du verre d’eau n’a pas changé. Quelles sont alors les causes des douleurs ? »

Pendant un long moment les élèves se turent. Ils semblaient perplexes.

« Que dois-je faire pour éviter la douleur ? » enchaîna le professeur.

« Ben, posez le verre… » murmura un étudiant timidement.
« Exactement ! » s’écria le professeur.

« C’est une leçon que je veux que vous reteniez : les problèmes et les soucis de la vie sont comme ce verre d’eau. Pensez à eux pendant un court moment, rien ne se passera. Mais pensez-y un peu plus longtemps et ils commenceront à faire mal. Et si vous y pensez toute la journée, vous vous sentirez paralysé, incapable de faire quoi que ce soit. Il est important de se rappeler de laisser aller vos problèmes. N’oubliez pas de déposer le verre ! »
Auteur inconnu.

lundi 14 décembre 2015

Extrait "vice-versa" sur vos mémoires cellulaires

Suivez durant 7min, ce petit extrait du dessin animé PIXAR : vice-versa

Vous trouverez une jolie approche sur les mémoires, les souvenirs, les émotions de notre être.