jeudi 26 mai 2016

Les Elixirs (fleurs de Bach et élixirs d'orchidées) au secours de votre vie présente et de votre chemin de vie

Création de divers complexes en fonction de ce que vous vivez aujourd'hui 
et de votre cheminement; 
mais aussi création de complexe basé sur votre propre chemin de vie afin de vous permettre de vous libérer....




Tel : 06 74 64 39 21


mercredi 25 mai 2016

Vivre mieux, bonheur ou bien-être !







POUR VIVRE MIEUX, BIEN-ETRE OU BONHEUR !


  •  Pensées saines, pensées malsaines :

Afficher l'image d'originePour reprendre souvent le mal-être négatif ou positif, je préfère utiliser d’autres termes pour regrouper les pensées négatives qui le sont à quel titre. Ainsi, je vais m’exprimer avec les vocables : désagréables, malsaines, etc…
Nous avons l’impression que les pensées s’imposent à nous. Ce n’est pas vrai. Nous pouvons influer sur leur cours. La psychologie cognitivo-comportementale s’efforce de nous apprendre à domestiquer nos pensées, à reconnaître les pensées qui nous font du bien de celles qui nous font du mal. En effet, nous fonctionnons souvent en prenant des croyances erronées pour la réalité. Nous extrapolons à partir de la réalité et nous croyons aux histoires que nous nous racontons disons plutôt qui nous interprétons. Pour sortir de cette impasse, il faut repérer les croyances et les remplacer par des pensées saines.
Celles-ci ont 6 caractéristiques :
·        -  Une pensée saine se fonde sur un fait objectif
·        -  Elle nous aide à atteindre notre but
·        -  Elle nous aide à éviter les conflits relationnels
·       -   Elle nous permet de faire face à nos émotions de manière saine, sans avoir recours à des expédients (alcool, médicaments,…)
·       -   Elle nous aide à protéger notre vie et notre santé.
·        -  Elle ne vient pas du mental mais du cœur.
Exemple :
Votre fille ou fils revient de l’école avec une mauvaise note en français. Vous la ou le grondez et l’obligez à refaire le devoir. Jusque-là, c’est normal et vous avez réagi de façon objective. Mais ensuite, vous continuez à vous inquiéter : vous vous dites qu’elle ne va jamais arriver à poursuivre des études, qu’elle ava passer sa vie à souffrir dans un métier médiocre, qu’elle ne sera pas heureuse…..Tout cela relève de pensées malsaines : elles se fondent sur une extrapolation et non sur un fait objectif ; elles mettent votre santé en danger et ne vous aide à atteindre aucun but ; elles entretiennent un climat qui favorise les conflits relationnels avec votre enfant. Elles risquent de vous priver de sommeil, de vous stresser ou l’anxiété va s’installer… Tout cela aurait pu être évité si vous aviez repéré vos pensées malsaines et si vous les aviez remplacées par une pensée saine : elle a du mal à faire ses devoirs en français, je vais l’aider ou lui trouver un professeur particulier etc…
Tout ce qui est malsain, désagréable vient de votre mental, votre égo ou votre moi inférieur si vous préférez. Cette entité a été conditionnée par votre entourage, votre culture, vos croyances, votre éducation, votre famille et s’est coupée du cœur.
La pensée positive :
Résultat de recherche d'images pour "pensée positive"Pour vous aider dans cette démarche, vous pouvez avoir recours à la pensée positive. En portant votre conscience dans le cœur. Est-ce que je me sens bien avec ma pensée ? Oui, alors elle est bonne pour moi. Non, alors elle est malsaine. C’est mon corps et mon cœur qui seront les thermomètres. Si je suis dans une pensée malsaine, j’arrête tout de suite, et je me demande pardon et pardon à l’enfant intérieur qui est en moi. Je vais alors chercher un événement, un souvenir positif et je termine mon cheminement de pensée par une pensée positive que je peux répéter plusieurs  fois pour qu’elle s’imprime. Je la prononce à la première personne. Exemple on ne dit pas : je vais réussir, je n’échouerai pas. Mais « je réussis ».
Faire taire les pensées :
Nos pensées ne cessent de s’agiter dans nos têtes, brouillant parfois nos perceptions. Il est bon de pouvoir faire le silence en soi pour se connecter à une autre dimension. C’est ce que propose la méditation. Elle permet d’entrer en contact avec une partie plus subtile de nous-même et du monde qui nous entoure.
Au-delà de la pensée :
Certaines techniques proposent d’utiliser les pensées, de les façonner de manière à créer en nous les conditions de la guérison ou de la réussite. C’est le cas de la sophrologie. Et d’autres méthodes que j’utilise pour faire prendre conscience du processus de la pensée négative, on peut remonter aux blessures qui viennent depuis votre enfance.

  • Douces ou violentes émotions :

Pour vivre bien, il nous faut aller au-delà de nos pensées pour apprivoiser nos émotions. Celles-ci sont sources de bien-être ou de souffrance, selon la façon dont on les vit. Emotions douces ou violentes…elles colorent notre existence, mais elles peuvent aussi les assombrir.
Officiellement, les émotions sont au nombre de six : la joie, la colère, la peur, la tristesse, le dégoût et la surprise. Cette dernière est une émotion ponctuelle, une réaction face à l’inatendu et pose peu de problème. Le dégoût lui non plus ne nous pose pas trop de difficultés car il ne fait pas résonner les expériences du passé. En revanche, les autres peuvent nous perturber. Si elles ne sont pas bien gérer, elles peuvent nous rendre malade. Elles provoquent à la fois une réaction psychique et physique.
L’émotion n’est pas un état permanent, elle a un début et une fin. Entre les deux, c’est son intensité qui fait toute la différence. La peur par exemple peut prendre la forme d’une petite frayeur ou d’une peur panique. Ce sont la durée et l’intensité qui sont en cause.
Elles peuvent diminuer grâce à la prise de fleurs de Bach que je prescrits selon votre présent et votre vécu, selon votre chemin de vie ou votre évolution spirituelle. 
  • Apprendre à lâcher prise :

Résultat de recherche d'images pour "lâcher prise"La première chose dont nous pouvons nous défaire, c’est notre désir de tout maîtriser : nous, les autres, les événements….
Voici une petite représentation qui permet de se familiariser avec la notion :
Imaginez la vie comme une rivière : elle coule, parfois paisible, parfois orageuse. Son parcours et parsemé d’embûches, mais aussi de plages… ll y a des gens qui restent sur la rive et la regardent couler. Certes ils ne risquent pas de souffrir de sa froideur ni de sa violence, mais ils ne peuvent pas savourer non plus sa fraîcheur l’été. D’autres ont accepté d’y plonger mais, n’osant se laisser aller, ils restent accrochés à la rive, subissant de plein fouet la violence de son cours. Enfin, il y a ceux qui ACCEPTENT de se laisser aller dans le courant. Ils font confiance au cours de l’eau et n’essaient pas de le contrarier. Ceux -là lâchent prise.
Pour lâcher prise plus facilement :
-          -Acceptez la nouveauté
-          -N’ayez plus peur de perdre ce que vous avez : pour attraper              une nouvelle branche, il faut bien lâcher celle que l’on tient.
-         - Pardonnez à ceux qui vous ont fait souffrir. C’est le meilleur            moyen de se libérer de ses souffrances. La rancune, la haine            nous maintiennent prisonniers, attachés à notre passé.
-         - Brisez ce cercle d’habitudes
-         - Faites-vous confiance : vous possédez bien plus de qualités             que ce que vous croyez
-          -Arrêtez de vouloir tout prévoir : laissez un peu de place à                 l’imprévu, faites confiance à l’univers, votre étoile, ayez la foi.
-          -Acceptez d’apprendre, jour après jour
-         
L’atelier, cercle du Pardon peut vous libérer et tendre vers un lâcher prise. Vous pouvez prendre pour cela connaissance de mon Agenda pour connaître les jours d’animations.
  • Apprendre à s’aimer soi-même :
Les voies du bien-être sont nombreuses et d’une infinie richesse. Pour les explorer à loisir, il faut pourtant disposer d’un atout personnel indispensable : l’amour de soi. Sans ce moteur, on ne s’autorise pas à accéder au bien-être et encore moins au bonheur. L’amour de soi se cultive et s’entretient… comme l’amour de notre couple.
Quand on est plongé dans la spirale constante du désamour de soi, ni rien, ni personne ne peut briser ce mouvement dévastateur. Personne … à part nous-mêmes, bien sûr !
L’image que l’on se fait de soi n’a rien à voir avec la réalité. Les fleurs de Bach peuvent également nous aider à nous ouvrir. Je les complète avec les Elixirs d’Orchidées d’Amazonie.
Dans ce Blog, vous trouverez également un article, après celui-ci, sur le même thème : Apprendre à s’aimer, les images de l’enfance, l’estime de soi, cultiver l’estime de soi, qui sommes- nous vraiment ? Comment devenir soi-même ? S’aimer sans le regard de l’autre, solitude provisoire …
C’est tellement un tronc comment à chacun qu’il est important de s’y attarder.
  • Apprendre à aimer l’autre :
Résultat de recherche d'images pour "aimer l'autre"
Difficile de parler de bien-être sans évoquer les relations affectives. L’amour que l’on reçoit et celui que l’on donne sont au centre du bonheur individuel. Cependant, les relations humaines ne sont pas toujours simples. Vivre à deux demande de la tolérance, de la compréhension et du lâcher-prise …
L’amour n’est pas inné, du moins celui qui unit les couples. Aimer, cela s’apprend ! il n’existe pas de prince charmant ni de princesse charmante. L’être idéal n’existe pas !
Nous sommes tous pétris de défauts et de qualités. C’est ce qui fait de nous des humains. Le devoir de perfection n’existe pas ici bas. En revanche, pour qu’un couple soit stable, riche, rempli d’amour et de partage, il faut que les deux partenaires aient des défauts et des qualités compatibles. Certaines personnes passent leur vie à rechercher un être idéal qui n’existe pas. Ceux-là sont, le plus souvent, mus par une peur de l’engagement qui les fait fuir dès qu’une relation est possible. Si une personne les aime, c’est que cette personne se trompe puisqu’ils ne sont pas aimables. Ils s’empressent de mépriser l’être capable d’une telle bévue et le quittent.  Ce sont vos blessures d’abandon ou de rejet qui remontent alors en surface. C’est un travail que nous effectuons ici ensemble au cabinet « guérir les blessures de l’enfance ».
Dans les premiers temps d’une relation, aucune des deux personnes ne voit vraiment l’autre. Chacun projette ses fantasmes sur un être rêvé. Puis les semaines passent et la réalité apparaît. L’autre ne correspond pas totalement à nos projections, mais ce n’est pas une raison pour mettre fin à la relation. Cependant pour pouvoir continuer et nous adapter nous devons être clair avec nos besoins et nos attentes : quels sont les défauts qui nous sont insupportables et ceux qui nous dérangent le moins ? Quelles valeurs humaines nous sont vraiment indispensables ? Quels rêves désirons-nous vraiment partager ? … le reste est affaire de compromis quotidien.
Les hommes viennent de Mars et les femmes de vénus, vous connaissez ? Les problèmes de communication dans les couples découlent de ces projections. Chacun connaît son fonctionnement et le projette sur l’autre. Chacun espère faire plaisir à l’autre en lui faisant ce qu’il aimerait qu’on lui fasse. En retour, il attend de l’autre qu’il réponde à ses désirs. Or, femmes et hommes vivent sur des planètes différentes. C’est pourquoi, il est important de communiquer encore et encore, exprimer ses besoins sans attendre que l’autre les devine. Nous sommes des êtres, des personnalités différentes. S’occuper de soi n’a rien d’égoïste. En s’occupant d’abord de nos besoins, nous pourrons ensuite aimer l’autre. Tout commence d’abord par soi. Ce n’est pas notre partenaire qui doit assouvir nos attentes, nos besoins. Nous n’avons pas le droit d’attendre que l’autre agisse à notre place sous prétexte qu’ainsi il vous aime. Aimez-vous d’abord et apprenez à aimer l’autre dans sa personnalité.
Acceptez l’autre comme il est : il est illusoire de vouloir faire changer une personne qui n’en a pas l’intention et le temps ne changera rien si lui n’en a pas pris l’initiative. On peut l’accompagner sur le chemin de son évolution, on peut l’aider, à devenir plus lui-même s’il le veut bien , mais on ne peut pas le faire devenir une personne qu’il n’est pas.
Pour accepter l’autre comme il est, il faut tenir compte de ses traits de caractère propre, de ses qualités, de ses défauts, mais aussi qu’il appartient à l’un ou ‘autre sexe. C’est cet édifice qu’il s’agit non de comprendre mais d’accueillir. Cela ne va pas sans provoquer des crises. Tous les couples en traversent. Certains les dépassent. Les crises sont toujours bénéfiques en ce qu’elles permettent d’avancer. Mais attention, il ne faut pas quitter l’idée que l’on se doit de rester respectueux de l’autre et non malveillant.  Parfois, ces « crises » révèlent des divergences trop importantes, telles qu’il vaut mieux mettre un terme à la relation. C’est triste, souvent douloureux, mais si les raisons de la rupture sont justifiées, il ne sert à rien de regretter mais accepter. Il arrive aussi, heureusement, que les crises de couple permettent à chacun de prendre conscience de ce qu’il vit car le rythme quotidien, les habitudes, nous enferment rapidement dans un ronronnement. Donnez-vous, offrez-vous du temps seul, tous les deux. C’est important, pour revivre votre début de relation…
  • Les ravages de la jalousie :
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Au centre des crises de couple se trouve souvent la jalousie. C’est un senti-ment très largement partagé. L’idée que l’objet de notre amour puisse appartenir à un ou une autre est insupportable. La jalousie puise ses racines dans notre lointain passé (toujours nos blessures d’enfances). La jalousie peut être aussi très importante car nous sommes dans la dépendance affective et nous avons peur de perdre, de ne plus être aimée…la jalousie est un bouquet d’émotions violentes, parfois insurmontables. C’est une vague qui vous submerge et vous entraîne parfois vers des contrées intimes que vous ne soupçonniez pas. La jalousie peut rendre violent l’être le plus calme ou ordurier. Le plus souvent les personnes jalouses vivent dans un fantasme permanent de trahison. Elles traquent, suspectent, surveillent…ce qui devient rapidement insupportable pour l’autre, d’autant plus s’il est innocent.
Il est possible de palier à ce mauvais ressentiment grâce aux divers nettoyages de mémoire, une thérapie sur nos anciennes blessures d’enfance tout en étant aidée également par les fleurs de Bach.

Voici quelques attitudes qui vous aideront à maintenir la jalousie à distance :

  •  La jalousie est une souffrance pour celui qui la ressent. Ne mésestimez pas cette partie du problème.
  •  Il y a toujours une part d’injustice dans la jalousie, soit dans son objet, soit dans son ampleur. Avez-vous envie d’être injuste ?
  • une crise de jalousie, on s’aveugle. L’autre nous ment peut-être, mais nous nous mentons à coup sûr.
  • Acceptez ce que votre partenaire a vécu avant vous… et ce qu’il vivre peut être après. Mais demandez lui d’en faire autant avec vous.
  • Et surtout interdisez-vous de réagir pendant que vous êtes en crise. Attendez que l’émotion soit calmée pour regarder la situation avec un œil plus serein. S’il faut agir, il sera toujours temps...



  • Partage de territoire :

Résultat de recherche d'images pour "couple"Enfin, pour vivre en couple, il faut apprendre à partager son territoire. C’est un apprentissage parfois difficile d’autant que, dans l’élan fusionnel du commencement, nous sommes prêts à abandonner à l’autre la moindre parcelle de nous-mêmes. C’est une erreur. Parmi les pierres les plus importantes qui permettent de bâtir un couple figure le respect de l’autre et de son territoire.  La fusion totale, du genre « moi et toi, partout toujours », ne donne pas de bons résultats à long terme. On finit par ne plus savoir qui l’on est … il y a d’ailleurs un nombre croissant de couples « non-cohabitants ». Ce sont des couples qui s’aiment, partagent l’essentiel de leur vie, mais gardent chacun leur logement. Sans aller jusque-là, il est bon de conserver un petit coin qui n’est qu’à soi : un bureau, un coin du salon… Le territoire  peut aussi être constitué d’activités que l’on pratique sans l’autre ou d’amis que l’on voit seul. L’essentiel est de respirer et de laisser respirer l’autre, afin que personne ne manque d’air.
  • Conclusion :
Le Bonheur est fait d’une suite d’instants fugaces. Il n’a donc rien à voir avec le bien-être qui se cultive jour après jour. Le bonheur exige de nous de la disponibilité, de la conscience, de la patience, du désir. Alors que le bien-être est un premier pas sur le chemin du bonheur. La prise de conscience de soi, le développement de l’amour de soi, l’attention que l’on accorde à son corps, les moments de plaisir que l’on s’offre… ce sont autant d’éléments qui nous rapprochent de plus en plus du bonheur.
Bonheur et bien-être ont un autre point commun : ils se conjuguent au présent.  C’est aujourd’hui que nous pouvons décider de vivre mieux.

N’hésitez pas à prendre contact avec moi pour tendre vers cette future réalité J du mieux vivre.
Karina : TEL : 06 74 64 39 21
www.les7vents.fr

Conseil lecture :
Deepak Choppra – Le chemin vers L’Amour