POUR VIVRE MIEUX,
BIEN-ETRE OU BONHEUR !
- Pensées saines, pensées malsaines :
Pour reprendre souvent le mal-être négatif ou positif, je
préfère utiliser d’autres termes pour regrouper les pensées négatives qui
le sont à quel titre. Ainsi, je vais m’exprimer avec les vocables :
désagréables, malsaines, etc…
Nous avons l’impression que les pensées s’imposent à nous.
Ce n’est pas vrai. Nous pouvons influer sur leur cours. La psychologie
cognitivo-comportementale s’efforce de nous apprendre à domestiquer nos pensées,
à reconnaître les pensées qui nous font du bien de celles qui nous font du mal.
En effet, nous fonctionnons souvent en prenant des croyances erronées pour la
réalité. Nous extrapolons à partir de la réalité et nous croyons aux histoires
que nous nous racontons disons plutôt qui nous interprétons. Pour sortir de
cette impasse, il faut repérer les croyances et les remplacer par des pensées
saines.
Celles-ci ont 6 caractéristiques :
· - Une pensée saine se fonde sur un fait objectif
· - Elle nous aide à atteindre notre but
· - Elle nous aide à éviter les conflits
relationnels
· - Elle nous permet de faire face à nos émotions de
manière saine, sans avoir recours à des expédients (alcool, médicaments,…)
· - Elle nous aide à protéger notre vie et notre
santé.
· - Elle ne vient pas du mental mais du cœur.
Exemple :
Votre fille ou fils revient de l’école avec une mauvaise
note en français. Vous la ou le grondez et l’obligez à refaire le devoir.
Jusque-là, c’est normal et vous avez réagi de façon objective. Mais ensuite,
vous continuez à vous inquiéter : vous vous dites qu’elle ne va jamais
arriver à poursuivre des études, qu’elle ava passer sa vie à souffrir dans un
métier médiocre, qu’elle ne sera pas heureuse…..Tout cela relève de pensées
malsaines : elles se fondent sur une extrapolation et non sur un fait
objectif ; elles mettent votre santé en danger et ne vous aide à atteindre
aucun but ; elles entretiennent un climat qui favorise les conflits
relationnels avec votre enfant. Elles risquent de vous priver de sommeil, de
vous stresser ou l’anxiété va s’installer… Tout cela aurait pu être évité si
vous aviez repéré vos pensées malsaines et si vous les aviez remplacées par une
pensée saine : elle a du mal à faire ses devoirs en français, je vais
l’aider ou lui trouver un professeur particulier etc…
Tout ce qui est malsain, désagréable vient de votre mental,
votre égo ou votre moi inférieur si vous préférez. Cette entité a été
conditionnée par votre entourage, votre culture, vos croyances, votre
éducation, votre famille et s’est coupée du cœur.
La pensée positive :
Pour vous aider dans cette démarche, vous pouvez avoir
recours à la pensée positive. En portant votre conscience dans le cœur. Est-ce
que je me sens bien avec ma pensée ? Oui, alors elle est bonne pour moi.
Non, alors elle est malsaine. C’est mon corps et mon cœur qui seront les
thermomètres. Si je suis dans une pensée malsaine, j’arrête tout de suite, et
je me demande pardon et pardon à l’enfant intérieur qui est en moi. Je vais
alors chercher un événement, un souvenir positif et je termine mon cheminement
de pensée par une pensée positive que je peux répéter plusieurs fois pour qu’elle s’imprime. Je la prononce à
la première personne. Exemple on ne dit pas : je vais réussir, je n’échouerai
pas. Mais « je réussis ».
Faire taire les pensées :
Nos pensées ne cessent de s’agiter dans nos têtes,
brouillant parfois nos perceptions. Il est bon de pouvoir faire le silence en
soi pour se connecter à une autre dimension. C’est ce que propose la
méditation. Elle permet d’entrer en contact avec une partie plus subtile de
nous-même et du monde qui nous entoure.
Au-delà de la pensée :
Certaines techniques proposent d’utiliser les pensées, de
les façonner de manière à créer en nous les conditions de la guérison ou de la
réussite. C’est le cas de la sophrologie. Et d’autres méthodes que j’utilise
pour faire prendre conscience du processus de la pensée négative, on peut
remonter aux blessures qui viennent depuis votre enfance.
- Douces ou violentes émotions :
Pour vivre bien, il nous faut aller au-delà de nos pensées
pour apprivoiser nos émotions. Celles-ci sont sources de bien-être ou de
souffrance, selon la façon dont on les vit. Emotions douces ou violentes…elles
colorent notre existence, mais elles peuvent aussi les assombrir.
Officiellement, les émotions sont au nombre de six : la
joie, la colère, la peur, la tristesse, le dégoût et la surprise. Cette
dernière est une émotion ponctuelle, une réaction face à l’inatendu et pose peu
de problème. Le dégoût lui non plus ne nous pose pas trop de difficultés car il
ne fait pas résonner les expériences du passé. En revanche, les autres peuvent
nous perturber. Si elles ne sont pas bien gérer, elles peuvent nous rendre
malade. Elles provoquent à la fois une réaction psychique et physique.
L’émotion n’est pas un état permanent, elle a un début et
une fin. Entre les deux, c’est son intensité qui fait toute la différence. La
peur par exemple peut prendre la forme d’une petite frayeur ou d’une peur
panique. Ce sont la durée et l’intensité qui sont en cause.
Elles peuvent diminuer grâce à la prise de fleurs de Bach
que je prescrits selon votre présent et votre vécu, selon votre chemin de vie
ou votre évolution spirituelle.
- Apprendre à lâcher prise :
La première chose dont nous pouvons nous défaire, c’est
notre désir de tout maîtriser : nous, les autres, les événements….
Voici une petite représentation qui permet de se
familiariser avec la notion :
Imaginez la vie comme une rivière : elle coule, parfois
paisible, parfois orageuse. Son parcours et parsemé d’embûches, mais aussi de
plages… ll y a des gens qui restent sur la rive et la regardent couler. Certes
ils ne risquent pas de souffrir de sa froideur ni de sa violence, mais ils ne
peuvent pas savourer non plus sa fraîcheur l’été. D’autres ont accepté d’y
plonger mais, n’osant se laisser aller, ils restent accrochés à la rive,
subissant de plein fouet la violence de son cours. Enfin, il y a ceux qui
ACCEPTENT de se laisser aller dans le courant. Ils font confiance au cours de
l’eau et n’essaient pas de le contrarier. Ceux -là lâchent prise.
Pour lâcher prise plus facilement :
- -Acceptez la nouveauté
- -N’ayez plus peur de perdre ce que vous
avez : pour attraper une nouvelle branche, il faut bien lâcher celle que
l’on tient.
- - Pardonnez à ceux qui vous ont fait souffrir.
C’est le meilleur moyen de se libérer de ses souffrances. La rancune, la haine nous maintiennent prisonniers, attachés à notre passé.
- - Brisez ce cercle d’habitudes
- - Faites-vous confiance : vous possédez bien
plus de qualités que ce que vous croyez
- -Arrêtez de vouloir tout prévoir : laissez
un peu de place à l’imprévu, faites confiance à l’univers, votre étoile, ayez
la foi.
- -Acceptez d’apprendre, jour après jour
-
…
L’atelier, cercle du Pardon peut vous libérer et tendre vers
un lâcher prise. Vous pouvez prendre pour cela connaissance de mon Agenda pour
connaître les jours d’animations.
- Apprendre à s’aimer soi-même :
Les voies du bien-être sont nombreuses et d’une infinie
richesse. Pour les explorer à loisir, il faut pourtant disposer d’un atout
personnel indispensable : l’amour de soi. Sans ce moteur, on ne s’autorise
pas à accéder au bien-être et encore moins au bonheur. L’amour de soi se
cultive et s’entretient… comme l’amour de notre couple.
Quand on est plongé dans la spirale constante du désamour de
soi, ni rien, ni personne ne peut briser ce mouvement dévastateur. Personne … à
part nous-mêmes, bien sûr !
L’image que l’on se fait de soi n’a rien à voir avec la
réalité. Les fleurs de Bach peuvent également nous aider à nous ouvrir. Je les
complète avec les Elixirs d’Orchidées d’Amazonie.
Dans ce Blog, vous trouverez également un article, après
celui-ci, sur le même thème : Apprendre à s’aimer, les images de
l’enfance, l’estime de soi, cultiver l’estime de soi, qui sommes- nous
vraiment ? Comment devenir soi-même ? S’aimer sans le regard de
l’autre, solitude provisoire …
C’est tellement un tronc comment à chacun qu’il est
important de s’y attarder.
- Apprendre à aimer l’autre :
Difficile de parler de bien-être sans
évoquer les relations affectives. L’amour que l’on reçoit et celui que l’on
donne sont au centre du bonheur individuel. Cependant, les relations humaines
ne sont pas toujours simples. Vivre à deux demande de la tolérance, de la
compréhension et du lâcher-prise …
L’amour n’est pas inné, du moins celui qui unit les couples.
Aimer, cela s’apprend ! il n’existe pas de prince charmant ni de princesse
charmante. L’être idéal n’existe pas !
Nous sommes tous pétris de défauts et de qualités. C’est ce
qui fait de nous des humains. Le devoir de perfection n’existe pas ici bas. En
revanche, pour qu’un couple soit stable, riche, rempli d’amour et de partage,
il faut que les deux partenaires aient des défauts et des qualités compatibles.
Certaines personnes passent leur vie à rechercher un être idéal qui n’existe
pas. Ceux-là sont, le plus souvent, mus par une peur de l’engagement qui les
fait fuir dès qu’une relation est possible. Si une personne les aime, c’est que
cette personne se trompe puisqu’ils ne sont pas aimables. Ils s’empressent de
mépriser l’être capable d’une telle bévue et le quittent. Ce sont vos blessures d’abandon ou de rejet
qui remontent alors en surface. C’est un travail que nous effectuons ici
ensemble au cabinet « guérir les blessures de l’enfance ».
Dans les premiers temps d’une relation, aucune des deux
personnes ne voit vraiment l’autre. Chacun projette ses fantasmes sur un être
rêvé. Puis les semaines passent et la réalité apparaît. L’autre ne correspond
pas totalement à nos projections, mais ce n’est pas une raison pour mettre fin à
la relation. Cependant pour pouvoir continuer et nous adapter nous devons être
clair avec nos besoins et nos attentes : quels sont les défauts qui nous
sont insupportables et ceux qui nous dérangent le moins ? Quelles valeurs
humaines nous sont vraiment indispensables ? Quels rêves désirons-nous
vraiment partager ? … le reste est affaire de compromis quotidien.
Les hommes viennent de Mars et les femmes de vénus, vous
connaissez ? Les problèmes de communication dans les couples découlent de
ces projections. Chacun connaît son fonctionnement et le projette sur l’autre.
Chacun espère faire plaisir à l’autre en lui faisant ce qu’il aimerait qu’on
lui fasse. En retour, il attend de l’autre qu’il réponde à ses désirs. Or,
femmes et hommes vivent sur des planètes différentes. C’est pourquoi, il est
important de communiquer encore et encore, exprimer ses besoins sans attendre
que l’autre les devine. Nous sommes des êtres, des personnalités différentes. S’occuper
de soi n’a rien d’égoïste. En s’occupant d’abord de nos besoins, nous pourrons
ensuite aimer l’autre. Tout commence d’abord par soi. Ce n’est pas notre
partenaire qui doit assouvir nos attentes, nos besoins. Nous n’avons pas le
droit d’attendre que l’autre agisse à notre place sous prétexte qu’ainsi il
vous aime. Aimez-vous d’abord et apprenez à aimer l’autre dans sa personnalité.
Acceptez l’autre comme il est : il est illusoire de
vouloir faire changer une personne qui n’en a pas l’intention et le temps ne
changera rien si lui n’en a pas pris l’initiative. On peut l’accompagner sur le
chemin de son évolution, on peut l’aider, à devenir plus lui-même s’il le veut
bien , mais on ne peut pas le faire devenir une personne qu’il n’est pas.
Pour accepter l’autre comme il est, il faut tenir compte de
ses traits de caractère propre, de ses qualités, de ses défauts, mais aussi
qu’il appartient à l’un ou ‘autre sexe. C’est cet édifice qu’il s’agit non de
comprendre mais d’accueillir. Cela ne va pas sans provoquer des crises. Tous
les couples en traversent. Certains les dépassent. Les crises sont toujours
bénéfiques en ce qu’elles permettent d’avancer. Mais attention, il ne faut pas
quitter l’idée que l’on se doit de rester respectueux de l’autre et non
malveillant. Parfois, ces « crises »
révèlent des divergences trop importantes, telles qu’il vaut mieux mettre un
terme à la relation. C’est triste, souvent douloureux, mais si les raisons de
la rupture sont justifiées, il ne sert à rien de regretter mais accepter. Il
arrive aussi, heureusement, que les crises de couple permettent à chacun de
prendre conscience de ce qu’il vit car le rythme quotidien, les habitudes, nous
enferment rapidement dans un ronronnement. Donnez-vous, offrez-vous du temps
seul, tous les deux. C’est important, pour revivre votre début de relation…
- Les ravages de la jalousie :
Au centre des crises de couple se trouve
souvent la jalousie. C’est un senti-ment très largement partagé. L’idée que
l’objet de notre amour puisse appartenir à un ou une autre est insupportable.
La jalousie puise ses racines dans notre lointain passé (toujours nos blessures
d’enfances). La jalousie peut être aussi très importante car nous sommes dans
la dépendance affective et nous avons peur de perdre, de ne plus être aimée…la
jalousie est un bouquet d’émotions violentes, parfois insurmontables. C’est une
vague qui vous submerge et vous entraîne parfois vers des contrées intimes que
vous ne soupçonniez pas. La jalousie peut rendre violent l’être le plus calme
ou ordurier. Le plus souvent les personnes jalouses vivent dans un fantasme
permanent de trahison. Elles traquent, suspectent, surveillent…ce qui devient
rapidement insupportable pour l’autre, d’autant plus s’il est innocent.
Il est possible de palier à ce mauvais ressentiment grâce
aux divers nettoyages de mémoire, une thérapie sur nos anciennes blessures
d’enfance tout en étant aidée également par les fleurs de Bach.
Voici quelques attitudes qui vous aideront à maintenir la jalousie à distance :
- La jalousie est une souffrance pour celui qui la ressent. Ne mésestimez pas cette partie du problème.
- Il y a toujours une part d’injustice dans la jalousie, soit dans son objet, soit dans son ampleur. Avez-vous envie d’être injuste ?
- une crise de jalousie, on s’aveugle. L’autre nous ment peut-être, mais nous nous mentons à coup sûr.
- Acceptez ce que votre partenaire a vécu avant vous… et ce qu’il vivre peut être après. Mais demandez lui d’en faire autant avec vous.
- Et surtout interdisez-vous de réagir pendant que vous êtes en crise. Attendez que l’émotion soit calmée pour regarder la situation avec un œil plus serein. S’il faut agir, il sera toujours temps...
- Partage de territoire :
Enfin,
pour vivre en couple, il faut apprendre à partager son territoire. C’est un
apprentissage parfois difficile d’autant que, dans l’élan fusionnel du
commencement, nous sommes prêts à abandonner à l’autre la moindre parcelle de
nous-mêmes. C’est une erreur. Parmi les pierres les plus importantes qui
permettent de bâtir un couple figure le respect de l’autre et de son
territoire. La fusion totale, du genre
« moi et toi, partout toujours », ne donne pas de bons résultats à
long terme. On finit par ne plus savoir qui l’on est … il y a d’ailleurs un
nombre croissant de couples « non-cohabitants ». Ce sont des
couples qui s’aiment, partagent l’essentiel de leur vie, mais gardent chacun
leur logement. Sans aller jusque-là, il est bon de conserver un petit coin qui
n’est qu’à soi : un bureau, un coin du salon… Le territoire peut aussi être constitué d’activités que
l’on pratique sans l’autre ou d’amis que l’on voit seul. L’essentiel est de
respirer et de laisser respirer l’autre, afin que personne ne manque d’air.
- Conclusion :
Bonheur et bien-être ont un autre point commun : ils se
conjuguent au présent. C’est aujourd’hui
que nous pouvons décider de vivre mieux.
N’hésitez pas à prendre contact avec moi pour tendre vers
cette future réalité J
du mieux vivre.
Karina : TEL : 06 74 64 39 21
www.les7vents.fr
Conseil lecture :
Deepak Choppra – Le chemin vers L’Amour
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